GHOST LAND
Paysages brossés,
vision troublée, irréelle et intérieure, capture du temps fuyant,
d'ombres naissantes, monstres de gélatine, fantômes que la rétine
n'imprime mais que l'âme révèle. L'après coup, l'instant d'après
la sensation. La surimpression, la combinaison de deux images qui se
font écho, s'appellent organiquement, s'imposent ensembles, se
manquent, se fondent maintenant entre elles et laissent apparaître
un nouveau paysage, une terre imaginaire, un lieu d'esprit.
Après une
carrière de comédienne, Virginie Merle se forme à la photographie
au Centre Iris et devient reporter et formatrice. En parallèle à
ses sujets documentaires elle articule des séries d'images faites au
sténopé et autre appareils lomographiques.
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